mardi 17 novembre 2009

III a) La culture

Dans les arts, la musique psychédélique et le pop’art ont marqué les esprits.

Le pop art' est désormais très a la mode aujourd'hui grâce au célèbre Andy Wahrol. On retrouve des tableaux comme ça un peu partout mais certains oublie que cette technique a été inspiré de l'art psychédélique des hippies.

Le slogan Flower Power est resté le symbole de la non-violence. Et le célèbre symbole PEACE & LOVE qui se forme avec les deux doigts de la main reste toujours d'actualité, mais encore une fois beaucoup de "jeunes" exécutent ce symbole sans même savoir d'où cela provient ( ce qui est bien dommage).

C'est essentiellement au niveau musical que l'on retrouve une influence de la période hippie de nos jours. Le festival de Woodstock est entré dans la légende et, s'il est encore connu des jeunes en ce début de XXI° siècle, c'est grâce à des témoignages, des disques et de nombreuses photos.






D'ailleurs le célèbre film Hotel Woodstock est une preuve qu'il reste réellement une trace des hippies au jour d'aujourd'hui. La création de ce film montre que cet événement a été réellement important, et montre aussi qu'il n'a pas laissée indifférent la génération d'aujourd'hui, et qu'elle s'en intéresse...




Woodstock


Synopsis : 1969. Elliot, décorateur d'intérieur à Greenwich Village, traverse une mauvaise passe et doit retourner vivre chez ses parents, dans le nord de l'État de New York, où il tente de reprendre en mains la gestion de leur motel délabré. Menacé de saisie, le père d'Elliot veut incendier le bâtiment sans même en avoir payé l'assurance alors qu'Elliot se demande encore comment il va enfin pouvoir annoncer qu'il est gay...Alors que la situation est tout simplement catastrophique, il apprend qu'une bourgade voisine refuse finalement d'accueillir un festival de musique hippie. Voyant là une opportunité inespérée, Elliot appelle les producteurs. Trois semaines plus tard, 500 000 personnes envahissent le champ de son voisin et Elliot se retrouve embarqué dans l'aventure qui va changer pour toujours sa vie et celle de toute une génération.




Il y a aussi Into the Wild qui fut l'adaptation de la réelle histoire de Christopher Mccandless. Son histoire aura même inspiré Jon Krakauer avec Vogage au bout de la solitude,un récit d'un jeune aventurier, à la fois sociable et solitaire qui quitte sa famille pour sillonner des régions les plus sauvages de l'Amérique. Le film racontera donc ce roman.


Voici le synopsis du film :
Tout juste diplômé de l'université, Christopher McCandless, 22 ans, est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à l'existence confortable et sans surprise qui l'attend, le jeune homme décide de prendre la route en laissant tout derrière lui.
Des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie, Christopher va rencontrer des personnages hauts en couleur. Chacun, à sa manière, va façonner sa vision de la vie et des autres.
Au bout de son voyage, Christopher atteindra son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature.

Nous retrouvons alors dans ce film le rejet de la société et bien entendu la nature se révelant proche de l'homme .


On retrouve aussi quelques événements ( Techno parade et compagnie )qui ont été inspiré des grand événements et rassemblement des hippies...
Le mouvement techno, qui naît dans les années 80 dans les grandes villes du monde occidentale est un bon exemple de ce qui reste des événements, et concerts hippies. S'il n'a pas la dimension sociale ni la perspective culturelle de la révolution psychédélique, il semble néanmoins





commémorer celui de la musique, de la danse et des grands rassemblements festifs et fusionnels des hippies. Sans atteindre les chiffres des plus grands festivals des années 60, les fêtes technos sont gigantesques: les raves party des années 80, ou les teckinivals des années 90 ou même les rassemblements concernant la Techno Parade à Paris actuellement regroupent des milliers de personnes dans des lieux insolites: usines désaffectées, hangar isolé ou cadre naturel comme un grand pré. Les ravers sont souvent des consommateurs d'ecstasy.




Au niveau de la littérature, on s'aperçoit que cela a donné envie aux auteurs du XXème siécle d'écrire des romans les concernant .



Il y a eu Magic bus, sur la piste des hippies d'Istanbul à Katmandou paru en 2008 de Rory Mclean.



Ce livre est donc un récit d'aventure retraçant les voyages des hippies qui prenaient leur mini van pour recommencer une nouvelle vie. De plus, on remarque qu'il que ce livre qui fut un best-seller en Grande Bretagne déclenché un véritable mouvement sur Internet : des milliers d'anciens «voyageurs intrépides» se sont retrouvés, échangeant photos, documents et souvenirs grâce au site de l'auteur.

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